[#51] - I'm not alone...Anymore. - (Storyline Kennedy)

| Los Angeles, CA, U.S.A| 17H28 | West 5th Street | RoadRage|
Danny Benoit était toujours au cabinet Lewis Brisbois Bisgaard & Smith, il fût escorté hors de la salle de conférence ou s'était déroulé la scène avec les avocats et Abraham Kennedy qui lui prirent tout. Les gardes de sécurité de Kennedy amènent Benoit qui toujours sous le choc de tout cela se laissa trainer dans le couloir de l'entrée principale sans se débattre. L'un des deux gardes laissa son collègue avec Benoit qui ne bougea pas d'un poil toujours fermement au côté du Québécois. On pu entendre l'autre garde un peu plus loin sur son téléphone cellulaire en train d'appeler le 9-1-1.

Le garde du corps remit son téléphone dans sa poche avant de retourner à son collègue. Il se pencha pour faire face à Benoit qui sembla regarder dans le vide, sans bouger, sans dire un mot, comme s'il y avait de la lumière, mais personne à la maison.

▬ Kennedy's Goon #1 | " Tu es foutu mon pote, la Police va arriver d'un moment à l'autre. Tu ne seras jamais aussi grand et brillant que le Patron, il t'a tout pris en un claquement de doigt et ce n'est que le début. Je n'aimerais pas cela, être dans tes souliers mon gars. Hmmph, et ça ose s'appeler un Champion. Un Champion qui n'a plus de maison. Pitoyable. Haaa! Haaa! "

▬ Kennedy's Goon #2 | " Ouais, t'as raison! Un Loser! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha!  "

Puis soudain, les deux hommes arrêtèrent de rigoler et se mirent droit en regardant quelqu'un qui semblait s'approcher d'eux. L'homme en question? Nul autre que leur Patron, Abraham Kennedy. Kennedy s'approcha de Benoit qui lentement bougea la tête dans sa direction en clignant des yeux.

▬ Abraham Kennedy | " Tu me décois Benoit. Hunter parlait tellement haut de toi, te croyant le futur après tout... pas tout le monde qui le sait que c'est LUI qui t'a donné ce surnom. Moi? Je ne t'ai jamais trouvé si exceptionnel, oui, tu es bon Benoit, très bon, mais moi, je suis meilleur. Et à WrestleMania nous avons pu constater que ce que je disais était la pur et simple vérité. Tu es tombé dans un piège tellement facilemement mais surtout évident. Hunter, ne t'as pas tout appris et ça parait. Tu es dangereux Benoit, tu es un animal sauvage et j'ai pu le constater et même le sentir avec ce coup salaud de tout à l'heure. Mais cela en valait la peine, car maintenant, tu n'as plus rien. Ta maison, ta voiture, ton fric et ohhh on avait oublié de mentionner, le titre North American avec la belle plaquette avec ton nom dessus...  "

Les yeux de Benoit se mirent à grossir aussitôt, il voulait dire quelque chose, même crier, mais rien ne sorti, il n'arrivait même pas à bouger le petit doigt tellement il était encore sous un gros choc..

▬ Abraham Kennedy | " Ce titre m'appartient désormais légalement, car Malcolm vient tout juste de me le donner en cadeau. Merci Danny! je n'ai jamais été Champion North American, un autre palmarès à mon actif pour ma collection. Bref, ce n'est pas que je ne t'aime pas mais... je ne t'aime pas et tu n'as plus aucune valeur à mes yeux. Le temps c'est de l'argent et tu en n'as plus. Donc... Comme une bonne vieille citation que tu ait dit à Juventud dans le passé: «Il est temps de sortir les poubelles.» Et c'est ce que je viens de faire avec toi et ta carrière. Au revoir, Danny Benoit l'échec monumental d'Hunter. L'avenir sans futur. "

Des chuchotements se mirent à siffler aux oreilles de Benoit. Ce dernier tentait de chercher d'où elles venaient, mais ne vit rien.

▬ Danny Benoit | " Ke....Ke...nne...dy,.... "

▬ Abraham Kennedy | " Hmmph? Oui Benoit? "

▬ Danny Benoit | " Ke....Ke...nne...dy.... "

▬ Inner Voices | " Strike Him...  Hurt Him... Make Him... Bleed... Do it... Claim your vengeance... unleash your true identity... Break him... "

▬ Danny Benoit | " KE...! KE...! KE....NNE...DY!!! "

Benoit se mit à trembler toujours en fixant Kennedy d'un regard presque vide. Kennedy commençait à se sentir mal à l'aise tout à coup et quitta la pièce aussittôt et c'est qu'alors au même moment de son départ que Kevin Lomax arriva en scène alors qu'il se dirigeait vers la sortie, il remarqua Danny et leurs regards se croisa, c'était presque comme si le temps s'arrêta pour eux.

▬ Inner Voices | " Make... Him... pay... MAKE HIM SUFFER... NOW! "

 Lomax ne bougea plus et d'un geste vif, Benoit bondit de son siège et d'un regard presque psychédélique, le Québécois donna un gros coup de boule en plein sur la tronche de Lomax. Du sang commença à jaillir du front et du nez de l'avocat qui se mit à hurler et paniquer de terreur coura vers l'extérieur. Benoit regarda autour de lui, les voix chuchotèrent des choses, mais il n'arriva pas à les comprendre aussi bien qu'il y a quelques instants. Les deux gardes du corps restèrent figés sur place, Benoit tourna lentement son attention vers eux, mais au même moment la Police arriva et intervint aussitôt en mettant la menotte aux poignets du Québécois pour par la suite le faire sortir de l'établissement et de l'amener au Poste de Police de Los Angeles au grand soulamenet des gardes du corps d'Abraham Kennedy. Une fois au poste de Police de Los Angeles...

▬ Agent Redfield | " Danny Benoit, 6'4, 230 livres. De Montréal au Québec au Canada. Il travaille pour la World Wild Wrestling Federation, une Fédération de lutte. On nous avait reporté un 240 au 633 West 5th Street, le Cabinet d'avocat Lewis Brisbois Bisgaard & Smith. Il aurait par ailleurs attaqué un homme, mais nous n'arriverons pas à rejoindre cet individu. Je suppose qu'on devra le garder au moins 24 heures pour en savoir plus, pas vrai Chef? "

▬ Sergeant Wesker | " Ouais, mais pourquoi tu l'as mis dans la cellule 8A? "

▬ Agent Redfield | " Je n'avais pas le choix Sergent, car sinon les autres detenus se mettent à hurler en sa présence Ça fais à peine 15 minutes qu'il est ici et déjà il fait du bordel. Avez-vous vu son regard? C'est quelque chose! J'avais l'impression d'avoir eu devant moi Hannibal Lecter lorsqu'on l'a arrêté. Et dans la voiture, Shshhh! Pas un mot tout le long du trajet mais il n'arrêtait pas de regarder dans le rétroviseur avec son regard vide. Des fois il bougeait lentement et frénétiquement la tête comme s'il écoutait quelque chose, ce mec me fout la chair de poule, Chef. "

Le sergent regarda ailleurs, un peu troublé lui aussi d'avoir cet homme dans son poste de Police et d'entendre ce que son collègue lui disait.

▬ Sergeant Wesker | " C'est le regard d'un homme qui semble avoir tout perdu et qui a maintenant plus rien à perdre, c'est les pire Agent Redfield, les pires. Bref, changeons de sujet, c'est notre Pause Diner, Valentine et Spencer vont prendre le relais. "

▬ Agent Redfield | " Oui Sergent! "

Les deux Policiers allèrent manger tandis que leurs remplaçants arrivèrent pour prendre le relais [1 Heure Plus tard.] L'Agent Redfield fit sa ronde vers les cellules des détenus, rien n'a signé jusqu'au moment où il vit la porte de la cellule 8A... grande ouverte! Il se mit à courir en direction de l'entrée principale et d'une voix paniquée parla au responsable du moment.

▬ Agent Redfield | "OU EST LE DÉTENU DE LA CELLULE 8A ?!? "

▬ Agent Valentine | " Il a été libéré il y a de cela à peu près 15-20 minutes? Sa caution a été payée par un homme du nom de...A-b r-a-ham... Ken-ne-dy. Oui, un homme nommé Abraham Kennedy est venu payer sa caution. Chris, j'ai jamais vu autant d'argent de ma vie sous mes yeux. 150 000$ Cash. Woah! Mais cela reste étrange toute de même... "

▬ Agent Redfield | " Ah bon? Pourquoi??? "

▬ Agent Valentine | " Eh bien, cet homme est venu payer sa caution, je lui ai demandé s'il voulait attendre qu'on aille chercher le détenu de la cellule 8A et il a refusé, il m'a simplement demandé de lui remettre cette enveloppe qui semblait contenir un billet d'avion pour Bellingham à Washington, je crois. J'ai libéré le détenu, il n'a pas dit un mot. Je lui ai fait part de l'information et de l'enveloppe. Il l'a pris et il a quitté le poste. Son regard m'a donné froid dans le dos. Je suis vraiment contente qu'il soit parti. En voyant son chandail ensanglanté digne d'un film d'horreur, j'imagine pas ce qui est arrivé lorsque vous l'avez arrêté. BRrRRRr! "

▬ Agent Redfield | " Chandail ensanglanté? On avait entendu dire qu'il avait frapper quelqu'un oui, mais il n'y avait pas de trace de sang sur lui.... "

C'est à ce moment que l'Agent Redfield tourna aussitôt les talons pour se diriger en vitesse vers la cellule 8A. Ce qu'il y vu avec un peu de clarté lui glaça le sang. Sur le mur, écris avec ce qui semblait un mélange de sang et de grafigne, juste un mot fut écrit sur le mur:  «Ken....ne....dy.»  La scène se termina avec l'Agent Redfield qui était figé et fut rejoint peu après par le Sergent qui en échappa son verre par terre qui se brisa en mille morceaux.