"L'astérisque" (Storyline : Abraham Kennedy, Johnny Puke, Corporate Order & Mark Spider)

Sabu, Jimmy Havoc et Jun Kasai erre dans les couloirs du premier étage d’un hôtel de Calgary, accompagné d’une quatrième personne qui tiens un téléphone mobile. Le trio semble en état d’ébriété : Sabu se promène avec un bière en main, Havoc et Kasai se parage une bouteille de whisky en cours de route. Kasai, qui ferme la marche, tombe face à face avec la porte d’une salle de réception qui est entrouverte.

Jun Kasai : Hey, les gars.

Havoc et Sabu se tourne vers Kasai qui les regardent, sourire en coin, et il s’enfonce dans la salle de réception. Ses comparses le suivent. La salle est assez vaste : quelques employés de l’hôtel s’affaire a ramasser les chaises puisque la salle semble avoir accueillis une sorte de conférence ou formation dans la journée. Les employés ne font pas de cas des intrus et continuent leurs besognes. Sabu se dirige vers une table, où il avais un micro qui n’était pas branché. Il s’asseoit devant celui-ci.

Sabu : Alors, Bonsoir à tous et bienvenue à ma conférence de presse.

Havoc s’esclaffe de rire après une généreuse rasade de whisky. Kasai se met à rire aussi. Il s’empresse d’aller s’asseoir sur une chaise qui traînais là et lève la main.

Sabu : Oui. Première question ?

Jun Kasai : Mr. Sabu : où est Dario Cueto ?

Havoc et Kasai se regarde en ricanant. Sabu esquisse un sourire moqueur.

Jimmy Havoc : M’sieur Sabu. M’sieur Sabu !

Sabu : Oui ?

Jimmy Havoc : Pourquoi avez-vous simplement quitté le match contre Abraham Kennedy ?

Sabu : Ah. Bonne question. Je voulais qu’il y ait simplement un bel astérisque près de son si précieux chiffre 100. Je voulais simplement faire en sorte qu’il n’oublie pas sont si précieux 100ème combat. Il pourra en parler longuement, de surcroît. Sa légende pourra même persister. « Sabu à eu trop peur de m’affronter ». « Sabu est un lâche ». Peut-être que oui, au plus profond de moi. J’avais peut-être peur de ce qui ressortirait de tout ça, des conséquences possible de ce duel. Ou simplement je n’avais pas envie de me mêler de tout ça, du King of the Ring, des crise d’égo d’Abraham Kennedy et de Johnny Puke ? Je suis le 100ème combat d’Abraham Kennedy, et je ne pourrais être autant satisfait que d’être une déception à ses yeux parce que, pour une des rares fois, on as dit « Non » au pauvre petit Abraham qui est habitué de demander et de recevoir. Johnny n’est pas reste : le pauvre chaton reviens parce « qu’il n’est pas dans le temple de la renommée ».  Bref, nos pauvres PAUVRES privilégiés demandent, et la plèbe leur donne, sans poser de question. Le mérite-t-ils ? Méritons-nous quelques choses, au final ?

Sabu prend une gorgée suite à ce monologue qui à refroidis l’ambiance. Jun Kasai se lève et tend la bouteille à Havoc qui la finit d’un trait.

Jun Kasai : Mais la Corporate Order mérite-elle ce qui lui arrive et ce qui va leur arrivée ?

Sabu : C’est une autre paire de manche ça, Jun. Il ne faut pas oublier nos racines : on se doit de défier l’ordre établis. La Corporate Order veut que la roue tourne dans leur sens tandis que toi, moi et Jimmy, on ne veut pas de roue parce qu’on as pas besoin, de cette foutue roue. Les gens se réconforte, se rassure quand un sysème familler est en place : quand Triple H crie « Maître » à plein poumons, c’est un coup de poignard dans mon dos : il me rappel que l’homme est un loup pour l’homme. Il me rappel que plusieurs d’entre-eux ne peuvent vivre sans être dominer. Je refuse ce sort et c’est pour cela que je vais … mmmm … libérer tiens. Oui, LIBÉRER la Corporate Order de leur chaînes !

Jimmy Havoc : En commençant par Dario Cueto !

Le trio esclaffe de rire. Sabu se lève en prenant une bonne gorgée de sa bière et la projette contre le mur se la salle de réception. Il se tourne vers les employés qui le regarde, impuissant. Les hommes quittent lentement la salle.

Jimmy Havoc : Aller. Viens mon vieux : je vais te raconter une belle histoire à la Mark Spider qui va t’endormir assurément .

Sabu esquisse un sourire à Havoc qui le secoue amicalement en le prenant par le cou.

Sabu : Ah. Mark. Je ne peux qu’être empathique. On ignore souvent l’impact qu’on a auprès de certaine personne. Mark reviens, le couteau entre les dents. Je ne peux que comprendre sa frustration, mais je ne peux l’excuser. A son « tayeule », je ne peux que lui rétorqué qu’Il n’as encore rien vue parce que les mind games, ça peut se jouer à deux.

Fade out.

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