Je prends le pouvoir. [Storyline Final Part]

Messages : 81 Date d'inscription : 04/10/2019

Le bruit des quad, dévorant la piste devant eux, ronronnant comme le tonnerre qui s'approchait de plus en plus. Dari obougea le rideau de la fenêtre de devant. Son sang Mexicain bouillait en lui, enfin il pourrait régler ses comptes. Une fois sur place, les hommes remarquèrent rapidement que le Jeep était complètement dévasté et que du sang s'y trouvait. Ils ne se doutaient pas qu'il s'agissait du sang de leur précédent chef. Toutefois, les hommes n'ayant pas l'habitude de rigoler, s'avancèrent vers la maison fusils à la main.

Homme de main - Sortez immédiatement de la maison. Ne tentez pas quoi que ce soit ou je vous fait exploser la cervelle.

Dario ouvra tout bonnement la porte du bâtiment tel un serveur dans un restaurant.

'El Jefe' Dario Cueto - Entrez donc. Faite comme chez vous.

C'était probablement la première fois depuis vingt ans que quelqu'un souriait sous cette antenne.

Homme de main - Tu te fou de ma gueule?

'El Jefe' Dario Cueto - Du tout, j'ai créé cette diversion afin d'établir le premier contact entre nos deux camps. J'ai pris de gros risque, mais jusqu'à présent, les autorités ne semblent pas avoir été alerté...que suis-je bête.

Homme de main - Que voulez-vous exactement.

'El Jefe' Dario Cueto - L'intense conflit entourant vos conneries a débordé la frontière aux États-Unis. Maintenant, ces stupidités qui font votre renommée ici me nuise et vous ne voulez pas que je me mêle de vos affaires, alors foutez-moi le camp de ma patrie. Contrairement à vous, j'ai bataillé dur pour arriver où j'en suis, j'ai bataillé dur pour me faire un nom ma patrie.

Homme de main - Quoi?

Répliqua l'homme visiblement enragé.

'El Jefe' Dario Cueto - Allez polluez l'existence d'une autre nation, tel la Bolivie.

Homme de main - Nous sommes bien ici.

'El Jefe' Dario Cueto - Le seul grand joueur qui devrait dominer ici c'est moi, à moins que vous ayez une solution à mon problème? J'attends vos suggestions.

Homme de main - Si nous te tuons?

L'homme entra dans la maison et referma la porte l'air dominant.

'El Jefe' Dario Cueto - Encore! Je croyais que vous aviez quand même compris que cela ne faisait pas parti d'une quelconque entente. Si des gens se verrait dans l'obligation de disparaître, disons seulement que je verrai le prochain levé du jour cigar à la main.

Homme de main - Tu te prend pour qui perro?

'El Jefe' Dario Cueto - L'homme est tellement centré sur lui-même qu'il ne voit pas le potentiel de ce qu'il a. Avec moi aux commandes de ce pays, étape par étape, nous regagnerions la réputation que vous nous avez fait perdre au fil des années. Avec un Mexique en santé, les gens viendraient de partout dans le monde encore plus, vous feriez encore beaucoup plus d'argent.

Homme de main - Cette drogue de va pas se vendre toute seule...

'El Jefe' Dario Cueto - C'est terminé cet époque. Les gens sont plus évolué que ça dans la société de nos jours. Le vrai business s'opère dans le noir, là où personne ne peut se faire prendre. C'est comme ça, les gens disparaissent, mais rien à signaler aux yeux de la police.

Homme de main - Tu proposes quoi alors?

'El Jefe' Dario Cueto - Premièrement, tu ne serais pas blessé aujourd'hui.

L'homme esclaffa de rire à l'extérieur et soudain plus un son. L'ombrage des corps martelés par Matanza à l'extérieur changeait la lumière de la pièce.

'El Jefe' Dario Cueto - Je dois avouer que je m'amuse autant que vous. Vous êtes combien en ce moment? Disons huit? J'arrondis à 1 minutes le temps que ça prendra à mon frère pour vous ramener sur terre.

Il regarda sa rolex.

'El Jefe' Dario Cueto - Et c'est terminé.

Homme de main - Disons qu'on oublie ton humour...

'El Jefe' Dario Cueto - Je prendrai le pouvoir, je vous offre un de mes hommes pour agir comme sous-traitant. Aucun de vous ne seriez à la rue, vous recevriez 40% du profit des contrats qui me sont envoyés. Plus de drogue, plus de cambriolages.

Homme de main - Tu sembles si certain que nous sommes venus ici pour marchander.

'El Jefe' Dario Cueto - Je suis un businessman. es gens disent que la langue mondiale est l'anglais... Ils se trompent! La langue que tout le monde comprend c'est celle de l'argent. Je sais que vous aussi vous l'êtes dans un certain sens. Une partie de moi veut vous écraser pour avoir terni ma réputation. De l'autre, je vois une opportunité. Voyez-moi comme un service de réorientation de carrière.

Homme de main - Qui proposeriez-vous?

'El Jefe' Dario Cueto - Bandido, vamos.

L'homme le regardait comme s'il avait reconnu l'étoffe d'un chef.

'El Jefe' Dario Cueto - Vous pouvez faire confiance à cet homme. Il vous sera utile et il me sera loyal. Alors, vous marchez avec moi ou pas? Dernière chance.

Homme de main - D'accord, mais d'abord je veux voir de quoi vous êtes capable, homme à homme.

'El Jefe' Dario Cueto - Moi? Non. Je ne me bats que très rarement. Si vous voulez vous mesurez à quelqu'un...je peux vous arranger quelque chose.

Homme de main - Je suis venu ici pour démolir quelqu'un. Ne soit pas rabat-joie voyons, tout le monde meurt un jour, c'est bien connu.

'El Jefe' Dario Cueto - Matanza?

L'homme recula au même moment qu'il vu la silhouette imposante du monstre. Il l'aggripa par la gorge et le leva de terre d'une seule main. Quand l'homme fut assez bleu, Dario s'approcha tout doucement.

'El Jefe' Dario Cueto - Alors, satisfait?

Homme de main - Arr....eeee

Il prit son cellulaire, cherchant une fréquence pour recevoir un appel.

'El Jefe' Dario Cueto - Juventud? Nous avons terminé notre travail ici. La guerre est terminé. Nous avons gagner du territoire, Bandido devra rester sur place. Alors, venez me prendre avec l'hélicoptère, nous partirons vers New York ce soir. Apparemment que Matanza aurait un match, je veux tous les détails dès que je serai à bord.

'El Capo' Juventud - C'est déjà fait.

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