19 Novembre 1985, Ferme des Dixon, Bainbridge Ohio
Carmen Dixon boit son café tranquillement, quand soudain le téléphone se met à sonner. Elle court aller décrocher. Au bout du fil, une voix d’homme se fait entendre.
Frederick Phillips : Bonjour Madame Dixon, je m'appelle Frederick Phillips, je suis le notaire de votre mari. Il m'a demandé de vous rencontrer pour parler affaires.
Carmen: Je ne comprend pas pourquoi il voudrait que je vous rencontre Mr. Phillips.
Frederick Phillips : Je vais vous la faire courte, votre mari veut le divorce.
Carmen: Le divorce?
Frederick Phillips : Passer à mon bureau dans l'après-midi et je vous expliquerai tout.
Frederick lui donne l’adresse et elle se rend là-bas pour 14h00. Arrivée au bureau du notaire Carmen s’assoit dans son bureau et l’attend.
Frederick Phillips : Ah! Madame Dixon, vous voilà enfin.
Carmen: Dépêchez vous, j’aimerais mettre fin à cette réunion au plus vite.
Frederick Phillips : D’accord, votre mari m’a appelé, il y a de cela trois jours, en me disant qu’il s’était passé quelque chose et qu’il voulait divorcer. Alors il est passé à mon bureau et a signé les papiers.
Carmen: Comment allons nous séparer nos biens, je ne peux pas perdre la ferme je suis enceinte et mon enfant se doit d’avoir un toit au dessus sa tête.
Frederick Phillips : En fait Madame Dixon, votre mari vous a tous laissé, votre ferme, l’argent qu’il avait amassé pour la ferme et même sa collection de cartes de lutte autographiés.
Carmen: Mais pourquoi fait-il tout ça?
Frederick Phillips : Je ne pourrais vous le dire Madame Dixon.
Carmen remercie Frederick et sort de son bureau. Arrivée à la maison, Carmen s’assoit dans sa grande chaise brune. Elle caresse son ventre tout en lui parlant.