* Caruso est en train de se promener en coulisses, elle semble chercher quelqu’un, ou quelque chose. Quand elle tourne un coin après les distributrices à sandwichs, elle apercoit l’ombrage de deux hommes, en train de ricaner. *
Fresh : Tu as vu la gueule de HHH, quand Spider et Jericho sont arrivés derrière lui? Ha ha ha, ils vont savoir ce que c’est d’être des légendes.
Batista : Effectivement, ils verrons ce que c’est de lutter avec cette hargne, ce feu, ce désir. Ce que c’est d’être un vrai champion, on ne mets pas un titre vacant, tout bonnement comme ca, sans vraiment aucune bonne raison. Excuse moi quelques minutes.
* Fresh part dans un autre sens, vu l’arrivée de Caruso. Batista se retourne et enlève ses lunettes de soleil. *
Batista : Je te le dis tout de suite, les gens verrons la suite de ce rassemblement assez vite. Ils aurons la vérité, et nous n’aurons rien à cacher. On jouera cartes sur table, et c’est le début d’un temps nouveau. On doit retourner vers quelque chose de classique. Dommage pour Kennedy et HHH, mais le message doit passer.
Batista : Pour ce qui est de mon prochain adversaire, Uncle Hustle je crois le nom?
Caruso : Oui en effet je crois…
Batista l’arrête de la main : It doesn’t mather. Ce vieux redneck sortit de sa grange du fin fond du Tennesse retournera bientôt fabriquer du moonshine et pincer les fesses de ses cousines. Ici monsieur Hillbilly Jim, on n’a pas besoin d’un crotté comme toi. Tu ne connais rien du monde de la lutte, j’en suis sûr et certain. Mais une chose que tu ne pourras pas oublier c’est mon nom, ma présence, et la punition qui viendra avec. Un gros tas de merde ambulant comme toi, j’en manges 10 pour petit-déjeuner. Tu penses avoir ce qu’il faut pour venir à bout de l’Animal? J’en doutes, et je sais que non. Je suis la sophistifaction même, je suis moderne, et je suis classique. J’ai plus d’un tour dans mon sac, et tu l’apprendras à tord et à travers. Tu seras ce gros porc vulgaire, qu’on fait cuir en méchoui avec la pomme dans la gueule, comme sûrement une de ces bêtes que Bad News a l’habitude de faire cuir dans sa cours-arrière.
Batista : Oui je conduis des voitures dispendieuses, oui je m’habilles de façon chic, je manges dans les grands restaurants, je voles en première classe. Tout ca c’est parce que j’ai choisit de faire quelque chose de ma vie. Je ne me suis pas assit là à poireauter, et à brailler sur mon sort. Comme sûrement un con de ton genre. Je crois qu’un enfant de 10 ans, a plus de maturité, et de bon sens, qu’un cave comme toi. Sûrement plus d’intélligence sans aucun doute. Tu seras là au mauvais temps, et au mauvais moment. Je n’ai rien personnellement contre toi, mais tu vas devoir subir la foudre de la bête. Ce mercredi, ca sera le monde de la jungle, une place où on doit survivre, pas une place comme au Tennesse où on danse, on fait le party, et on écoute du country. Ca ne sera pas une partie de plaisir, ca ne sera pas un party ni une fête. Mais un massacre, un sacrifice nécessaire. Je ferai de toi un exemple pour d’autres. Le royaume de la jungle t’envahira très bientôt!
Batista remet ses lunettes de soleil et part dans l’autre sens, laissant Caruso sur les lieux.