Fade in sur un vestiaire de gym. Un homme assez costaud quitte le vestiaire, AirPods dans les oreilles et énorme gourde d’eau à l’eau. Un autre semble enjambé un obstacle parterre. C’est Sabu, étendu sur le sol, le visage grimaçant de douleur.
Sabu : N’est-ce pas fantastique …
Sabu se lève difficilement et s’assoit sur le banc à coté de lui. Il s’éponge le visage.
Sabu : SABU. Le « Hall of famer ». La « légende » qui se pointe le bout du nez. Le corps meurtris. Toujours en quête de ce quelque chose … de ce « je-ne-sais-quoi ». …
Il se lève, enfile un vieux t-shirt troué à son effigie en lançant grossièrement sa servitte dans un un vieux sac de sport. Il l’empoigne et quitte le vestiaire. Il continue de s’adresser à la caméra en quittant le vestiaire.
Sabu : Je me suis poser la question depuis mercredi : était-ce un coup de tête, tout ça ? Ai-je laisser ENCORE mon égo prends le dessus ? Mon reptilien s’est emparé de moi : je ne pouvais résister à la tentation, le sang appelle le sang, quoi !
Il esquisse un sourire et salut d’un hochement de tête la personne qui emble s’occuper de l’accueil.
Sabu : Je profite de la petite équipe qui me suit. Oui : il faut croire que Sabu qui reviens, ça excite ! Je vois au loin, l’élite me regarder, pas comme un être humain mais comme une suite de chiffre qu’un seule comprenne. Ils ont décidé que ça serait pertinent de e suivre jusqu’à Road Rage, histoire de voir comment je vie avec tout …
Sabu s’arrête devant un des nombreux téléviseur du gym qui est syntonisé sur le WWWF Network C’est justement un combat mettant en vedette Matanza Cueto qui est en vedette.
Sabu : …ça. Matanza Cueto. Un bon test. Un bon test afin de me dégourdir (Sabu esquisse un sourire), de me remettre dans le bain. Histoire de me faire trimbaler à gauche et à droite contre mon gré, histoire de faire craquer mes vieux os et peut-être redonner vie à mon pauvre dos, qui sait. C’est ce qui as fait mon charme durant toute ses années, Matanza … ou dois-je parler à Dario ? En bonne bête, tu fais ce qu’on te dit, je suppose ? N’as-tu pas une volonté propre ? Par contre, je te comprends de laisser d’autres personnes penser pour toi : les choses deviennent moins compliquer, tu peux te concentre sur ton rôle … de bête.
Dans toute mythologie, histoire fantastique ou conte, la bête se veut une métaphore. Oui ! Dans toute sa puissance et sa dominance, la Bête as toujours trop confiance en ses moyens. … tue dois connaître le refrain, Dario ? Je ne réinvente pas la roue ici : je ne fait que constater les faits. Et on as du te sortir à quelque reprises cette ligne de la « bête qui sommeille en moi … » et bla bla, n’est-ce pas ? Moi, rine de cela m’habite, simplement la douleur : la douleur que je m’inflige et celle que je désire infliger aux autres. N’est-ce pas simple. Regarde à travers le temps, regarde mon visage meurtris, et tu va pouvoir rapidement comprendre ce que je te dis. La peur ne m’habite plus, malheureusement et ce dpuis beaucoup trop longtemps. Je vie chaque journée comme si c’était ma dernière et si ce mercredi et ma dernière journée, et sois sure que je t’amène avec moi !
Fade out.