Fear is my way. (Madness vs Juventud - World Championship)

Après avoir terminé un appel qui semblait être ennuyant...Madness prend parole.

MARK MADNESS: La peur est un rôle à vivre. Arrache le masque de ta tête. Montre moi le vrai visage que tu caches mon frère et je te montrerai le mien. Voilà plus d'un mois que ta vie oscille entre la vie carcérale et la vie d'athlète. Suis-je fou?

MARK MADNESS (Thoughts): Sûrement oui.

MARK MADNESS: Suis-je le seul à ne pas comprendre pourquoi tu nous emmerde avec tes histoires du passée et tes histoire de pen? Je suis déguelasse moi aussi et tellement plus encore que tu ne le crois. Me sentant comme-ci je t'avais quelque peu abîmé au fil du temps. Combien de gens peuvent dormir la nuit en ayant massacrer non pas une fois, mais deux fois son frère en si peu de temps? En lui provoquant une humiliation devant des milliers de gens qui ne demande pas mieux. N'as-tu pas assez de pression en ayant à te mesurer à moi une ultime fois? Passez votre chemin mesdames et messieurs, Juventud restera et mourra le même paquet d'os prétentieux et insatiable qu'il a toujours été, et ce, malgré les nombreuses personnes qui voudraient le voir échouer.

MARK MADNESS (Thoughts): Juvi, n'as-tu pas compris encore? Peu importe tes mélodrames dont tout le monde se contre-fou....

MARK MADNESS: Une opportunité s'est présentée à moi de saisir ce titre qui fait la renommée de cette putain de place. Pourtant, je me suis senti inhabituellement indigne lorsque je l'ai remporté. Non pas parce que je ne le mérite pas, mais parce que je savais que ce moment viendrait encore une fois ou tu voudrais me l'enlever. Le problème, c'est que les gens ne veulent pas te voir champion. Alors, je suis presque tenté de te laisser remporter ce combat juste pour faire grogner une bonne majorité des membres de ce vestiaire remplis d'idiots qui se croient au-dessus de toi. Toi, qui malgré tes nombreuses conquêtes de titre, n'as toujours pas su remporter le respect de tes pairs. J'ai peine à comprendre cette facette de ta vie, puisqu'avouons le... je devrais être le pire charognard de cette endroit, j'attaque des recrues juste pour le plaisir. Je vole la carrière d'une légende comme Chris Jericho juste parce que je n'avais rien de mieux à faire. Je dérobe le King of the Ring à John Semmers qui aurait du vivre son moment de gloire. Pourtant, je suis adulé dans ma folie. Évidemment, adulé dans ce cas est subjectif. J'étais adulé en tant que compétiteur, horrible en tant que personne. Les gens apprécient de voir un être qui se laisse porter par ses pulsions haineuses et ces gens achètent des billets pour venir voir ma prochaine surprise. Toi. Tu respires et les gens postent sur internet que tu pollues la couche d'ozone. Nous savons tous que tu t'amuses avec les faibles du midcard pour te graisser de règnes inutiles et sans saveur. Vraiment, j'espérais avoir plus de temps pour planifier ta disparition, mais le temps me manque.

MARK MADNESS (Thoughts): Non, putain que NON....c'est un mensonge bien gras. Dit-lui que tu n'en a rien à foutre de lui. Dit-lui que c'est une sous-merde de rapace.

MARK MADNESS: Comme mes détracteurs le souligneraient, je peux souvent apparaître comme frigide, aveugle, sociopathe, et cetera. J'ai presque paralysé quelqu'un avec une chaise en acier, juste parce qu'il m'a regardé de haut. Perhaps we’re both irredeemable. Comme moi, tu ferais n'importe quoi pour gagner. Probablement la plupart auxquelles je ne penserais même pas, mais je suppose que c'est le plaisir de combattre les pires personnes sur terre pour gagner sa vie. Jusqu'ou iras-tu mon frère cette fois? Seras-tu en mesure de suivre mon calibre? Tu sais comment je suis resté crédible aussi longtemps? Toutes ces années? La crainte. Le spectacle d'actes effrayants. Quelqu'un me vole, je lui fracture les mains. Il m'offense, je lui enfonce la tête avec ma botte. Il se dresse contre moi, je lui offre un title shot... puis, lorsqu'il est vaincu, je lève  la ceinture haut pour que tous les passants puissent voir. C'est ce qui préserve l'ordre des choses. La peur.

MARK MADNESS (Thoughts): Bien que tu ne voudras pas l'admettre, ça doit commencer à te travailler dans ton sommeil carcérale.

MARK MADNESS: Tu sais, mon frère... Je ne joue plus. Je suis dans ma propre ligue désormais. Ce sera mon ultime privilège de salir ta carrière une autre fois et être perçu comme un héro pour l'avoir fait. Je te promet une chose, plus jamais tu ne me verras de la même manière.